Dame Zina est une ode entre musique électronique et poésie éthérée.
Dame Zina est un rêve de bonheur, d’union, d’amour, d’acceptation et d’équité. Un élan vers la beauté de chaque chose, de chaque être. Une main tendue à chaque femme, à s’épanouir et trouver l’amour d’elle même.
Une fusion entre les styles, les genres, les rêves, les peurs et les histoires, et, finalement, un puit de sincérité et de réflexions personnelles, plus universelles qu’on ne le penserait.
Dame Zina est l’oeuvre d’un père et une fille, de Médéric Degoy et Carla Degoy. Alors que le premier, formé au métier d’ingénieur son à Louis Lumière, est le créateur des musiques et mélodies, à l’ordinateur, la seconde écrit, joue, chante et danse en conservatoire depuis l’enfance.
Leurs arts se mêlent et s’emmêlent formant des chansons sensibles et vives, des odes entre musique électronique et poésie éthérée.
Des réalisations visuelles encore une fois signées du duo familial, des clips tournés dans des lieux d’enfance et de chaleur, dans les Pyrénées, ou la Méditerranée.
Les interventions d’artistes hors du commun enrichissent leurs répertoire de touches jazz. Le violoncelle classique de Ophélie Humbertclaude avec sa plénitude poétique, la clarinette jazz de Lucien Lacquement aux allures d’improvisation et une dynamique revigorante.
Les douces pochettes sont capturées par la romantique Isabelle Banco, et le graphisme dessiné par Christine Degoy, toujours une histoire de famille !
Aux inspiration variées, de la chanson française à la musique contemporaine, de Massive Attack à Philip Glass, de Portishead à Nine Inch Nails ou encore de Fauve à Jain, l’ensemble de styles différents créé une fusion inclassable, menée par la poésie. Appelons-là Rock électro-végétal. Mettons encore dans le melting pot Aphex Twin, Nancy Sinatra, Kraftwerk, Steve Reich et tout Nonesuch, toute la musique baroque, la Motown, le rock progressif — Pink Floyd, Led Zep –, Trent Reznor encore (quel génie), Joan Baez, et déclarons qu’on aime aussi ce que font Soundgarden, les Red Hot Chili Peppers, Rage against the machine, Pearl Jam, Bach, Laurent Garnier, Frank Zappa, Yann Tiersen, David Lynch (à voir les yeux fermés), Faith no more et tout Mike Patton, Chick Corea, Avishai Cohen, Coltrane, Magma et tout Christian Vander, le Hip-Hop plutôt old school, Nina Simone, Tool, Lana Del Rey, Feu Chatterton, Ibrahim Maalouf…
Le projet de ce premier album fut imaginé comme un évènement logique, dans une famille d’artistes, aux talents complémentaires. Médéric composait et écrivait, Carla écrivait et chantait, et tous deux se lanceront dans le projet fou de créer de toute part un projet dont chaque élément sera sorti de leurs deux coeurs réunis, de leur humanité.
5 singles et clips sont prévus avant l’album qui sortira le 29/02/20.