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Nous sommes un groupe familial prolifique, faisant de la musique dans notre propre studio… et nous adorons ça !
Nous faisons tout ensemble avec mon père, j’écris et chante, il joue, écrit et produit, et nous espérons tous les deux que vous aimerez notre musique et que vous la partagerez avec vos amis.
Si vous aimez l’électro, le rock, la poésie, la nature, l’amour et les rêves, notre musique est pour vous ! Nous écrivons sur ce qui nous importe : le féminisme, la liberté et les émotions.

By Gaëlle Oro

Tout a commencé lorsque mon père m’a demandé de chanter sur une chanson qu’il a écrite, car il compose souvent lui-même. J’avais pris des cours de théâtre, de danse et de chant pendant des années (d’opéra, si vous pouvez le croire !), mais j’étais encore très timide par rapport à ma voix… il a donc fallu quelques jours pour enregistrer cette chanson. Mais quand nous avons réellement commencé, tout est allé si vite ! Nous avons créé et enregistré Emerald Eyes, un album de 16 titres en deux mois, et l’avons sorti plus tard cette année-là (2020), en tant qu’indépendants.

Maintenant que le temps a passé, j’ai de plus en plus confiance en ma voix, en mon message, en le pouvoir que nous donne la musique. Nous avons enregistré notre deuxième album en été 21, et nous avons fait tellement de titres que nous avons décidé quelque chose de fou : ce deuxième album serait comme une série, et nous avons sorti un titre chaque vendredi pendant quatre mois.

Aujourd’hui, notre projet prend une forme différente : Un EP, chaque mois, avec quatre chansons et un clip à chaque fois ! Le premier, Déjà Vu, disponible depuis le 8 aout 2022 contient trois chansons différentes : Soleil Froid, Cottagecore et Looks, ainsi qu’un remix de Looks, et le clip de Soleil Froid. Le second, Sorcière, disponible le 22 septembre 2022 réunit quatre chansons féministes, deux en français : Sorcière et Souveraines, et deux en anglais, So what ? et We stand… Et un nouveau clip pour la chanson Sorcière !

Article by New fire music for the album House of Zina :

Articles par Soundgoodmagazine pour l’album House of Zina : (traduits de l’italien)

Fools are in town

Article par Nenesbutler pour l’album House of Zina :


Interview par Divertir pour l’EP Self Lover :

Pouvez-vous nous présenter l’EP Self lover et son univers ?
Self lover est notre troisième EP mensuel, après Déjà vu et Sorcière. Chacun est accompagné d’un clip, ici pour la chanson More than enough.
Cet EP réunit quatre chansons sur l’amour propre et le respect de nous même.

Quelles ont été vos sources d’inspirations et dans quelles conditions l’avez-vous composé ?
Minnie riperton, Sade, pomme, Clara Luciani, Björk, mia doi Todd, youn sun nah, Anna Calvi… Il y a tellement de femmes incroyables dans la musique, qui parlent d’exister, d’être une femme, d’être unique et de s’aimer toute entière !
Comme toutes nos créations, c’est un EP composé à quatre mains : celles de mon père, Y, à la composition et au mixage, et les miennes, Dame Zina, à l’écriture et la voix ! Et comme plus on est de fous plus on rit, comme pour nos deux EPs précédents, Gaelle Oro nous a rejoint en réalisant le clip de More than enough.

En quoi l’apprentissage du respect et de la valeur de soi sont des choses importantes pour vous et s’agit-il de points en régression actuellement selon vous ?
En commençant par la fin : pas du tout ! Je pense qu’on est dans une époque où cet apprentissage du respect de de la valeur de soi est considéré comme essentiel ! Nous essayons chacun de faire une place à notre bonheur et notre plaisir, plus que jamais. C’est si beau de voir la créativité exploser de tous les côtés, et chacun s’épanouir !
Pour se connaître en tant qu’humains, il me semble essentiel de faire ce chemin, et en temps que femme, le respect est une problématique qui m’est particulièrement sensible : je suis en pleine recherche afin de ressentir pleinement du respect pour moi même. Si nous ressentons ce respect et cet amour de nous mêmes, nous devenons également plus lucides quant à ceux que les autres peuvent nous apporter : nous n’en dépendons plus !

Quels sont vos choix sur les instruments utilisés ?
Nous composons toujours entièrement à l’ordinateur, avec des inspirations de Björk, daft punk, nirvana ou portishead : des ambiences électroniques profondes, intimes, et un peu déjantées.

Dans quelle ambiance ce sont passés les enregistrements en studio ?
Ce sont nos moments préférés, si l’on pouvait passer tout notre temps en studio nous serions les plus heureux du monde !

Parlez nous du titre More than enough et de son clip…
La chanson More than enough retrace mon exploration vers l’acceptation de l’amour de moi… S’aimer sois même, ce n’est pas découvrir des parties de nous parfaites, mais accepter celles qui ont toujours été là et qui sont entièrement imparfaites.
Le personnage principal de ce clip est une étoile filante qui atterri sur terre et découvre différents paysages, jusqu’à se retrouver elle même et ne faire plus qu’un avec la nature.

Que souhaitez-vous apporter au public avec l’EP Self lover ?
Si je peux aider une seule personne à se sentir légitime et satisfaite d’être qui elle est… alors j’aurai tout gagné !

Quels sont vos choix sur la pochette du disque ?
La pochette a été réalisée avec une photo originale de Yuji Watanabe et des fleurs de Maison Lou Paris. Je voulais une ambiance intimiste, le trajet vers la confiance en soi est solitaire et intérieur, mais également des couleurs chaleureuses : c’est un voyage solitaire mais pas exilé. On est ressors plus confiant et détendu.

Avez-vous une anecdote ou une indiscrétion à nous raconter ?
Le tournage du clip more than enough s’est fait cet été, pendant les canicules, et mon personnage marche pieds nus… J’ai du marcher, courir et escalader sur les pierres brûlantes pendant tout le tournage… Les plans où je nage en robe ont étonnamment été bienvenus dans cette chaleur !

Que souhaitez-vous dire pour conclure ?
Nous créons à deux, de l’écriture à la sortie de chacune de nos chansons et nous avons créé une plateforme où nos auditeurs peuvent partager plus intimement la création sur patreon.
Si vous aimez ce que nous faisons, ce serait un plaisir de vous avoir dans notre équipe comme patron !

Interview par Divertir pour l’EP Sorcière :

Pouvez-vous nous présenter votre EP Sorcière ?
Sorcière est un condensé de ce que j’aime dans l’idée d’être une femme, et de ce qui me révolte ! C’est un paradoxe incessant, plein de préjugés, de prerequis, à la fois oppressant et libérateur. Être une femme est un sentiment incroyable, je suis fière d’appartenir à ce grand groupe sensible et courageux, et je suis tellement heureuse quand je vois une femme se sentir libérée du carcan de la société patriarcale.
Sorcière, c’est une intention libératrice.

Quelles ont-été vos sources d’inspirations ?
Clara Luciani et sa chanson « drôle d’époque » et Pomme et sa chanson « sorcières ». Ces deux chansons tournaient en boucle dans ma tête quand j’ai écrit celle-ci ! Elles évoquent toutes les deux l’ambiguïté d’être une femme fière et frustrée à la fois, d’être consciente de son oppression sans s’en victimiser, de revendiquer la féminité sans la fragmenter. Être une femme entière, c’est être une sorcière.

En quoi est-ce important de proposer des textes forts ou porteurs de sens ?
Pour moi, c’est absolument essentiel. Quand j’écris, je veux dire quelque chose. Je veux parler d’humanité, de société, de sensibilité. Je veux apporter ma pierre à l’édifice de la recherche personnelle que nous réalisons chacun sur terre. Je veux que mes auditeurs se disent « oh mais je ne suis pas seul.e à me poser ces questions, je suis légitime. »

Quels ont été vos choix sur le plan instrumental ?
On écrit en gros un instrumental par jour, à divers stades d’avancement. Certains prennent des mois à se finir, d’autres sont écrits en 2 heures en entier… Dans tous les cas, quand une chanson est finie, on choisit ou on écrit un texte selon le mood de l’instrumental. Donc les instrus naissent avant le texte. Une chanson à la base c’est parfois simplement une mélodie et les accords au piano, ou une ligne de basse ou de synthé, et l’arrangement (les autres instruments, la rythmique, etc.) peut être fait avant ou après le texte, mais souvent on a la chanson complète avant le texte, avec son ambiance : on construit l’ambiance d’une chanson à partir des premiers éléments qu’on a posé et de ce que ça nous évoque. Une fois qu’on a le texte, on transpose pour être dans le bon registre de timbre de voix, on pose la voix, on enregistre une première version chantée, et on retouche ou complète l’arrangement une fois la voix posée. En général on reprend des voix quelques semaines après, une fois le premier mixage fini. C’est un processus assez circulaire qu’on peut se permettre parce qu’on fait tout nous-même.

Parlez nous du titre Sorcière et de son clip…
Sorcière évoque métaphoriquement et physiquement la sortie de la prison que peut devenir la féminité dans la société contemporaine occidentale. Dans les paroles, je parle de sororité, et de l’oppression trop connue des femmes. Nous ne sommes plus brûlées au bûcher pour être indépendantes, mais nous sommes toujours marginalisées et delegitimises pour vouloir vivre notre vie comme on l’entend.

Que souhaitez-vous apporter au public avec l’EP Sorcière ?
Une libération, celle des femmes, aux femmes, celle que je recherche moi même. Je crois que toutes les femmes qui désirent plus que leur statut de « femme » comme genre secondaire recherchent cette libération, et je partage ma recherche pour que nous marchions main dans la main dans nos explorations.

Dans quelle ambiance se sont passés les enregistrements en studio ?
C’est en famille. On enregistre à la maison, tous les deux, quand ça nous chante ! On aime ça, on peut rester des journées entières à enregistrer plusieurs chansons par jour !

Souhaitez-vous nous parler de la pochette du disque ?
Pour cet EP, je voulais à la fois quelque chose de doux, de féminin, de fleuri, et quelque chose de sordide : être une femme indépendante fait peur, et souvent les femmes qui vivaient leur vie comme elles le voulaient étaient associées à la mort. On se s’expliquait pas leur indépendance, et on préférait imaginer qu’elles n’étaient pas vraiment humaines, qu’elles étaient laides et cruelles… les pieds qui flottent dans une eau fleurie, c’est Ophélie, la jeune femme incomprise qui fascine… mais n’a pas son mot à dire dans Hamlet.

Est-ce un bon EP à écouter le soir d’Halloween autour d’une cheminée et de citrouilles ?
ABSOLUMENT !!! Qui ne se complaît pas à se sentir sorcière pour Halloween ? Je me suis souvent déguisée en sorcière dans mon enfance, et aujourd’hui plus que jamais, je suis fière d’être une sorcière !

Avez-vous une anecdote ou une indiscrétion à nous raconter ?
Le clip de sorcière s’est déroulé en petit comité, avec Gaelle, la co-réalisatrice et camerawoman, et Atalia, l’artiste qui a réalisé la cage, sur un concept très simple : tourner le clip à l’envers et le retourner au montage. En tout et pour tout, nous en avons eu pour 2 heures de tournage, le temps de terminer mon paquet de paillettes dorées, et j’ai monté le clip en moins d’une journée le lendemain… et hop le clip était dans la boîte !
Étonnamment, malgré cette efficacité légère, c’est notre clip préféré !

Des concerts sont-ils prévus prochainement ?
Nous ne faisons pas de concert pour le moment, notre musique est un refuge de l’intime, à déguster chez soi, avec un chocolat…

Que souhaitez-vous dire pour conclure ?
Être une femme, être une sorcière, c’est un don, et c’est une malediction. Je tente de trouver ma part, et j’ai hâte que le monde fasse sa place aux femmes sans avoir à leur chercher des noms… en attendant, Vive les sorcières !!

Article par New Kid Generation (en anglais) pour l’EP Déjà vu :

By Gaëlle Oro

Interview par Divertir :

 D’où vient votre passion pour la musique ?

DZ : Depuis petite, je chante partout où je suis, en improvisation, je faisais des trémolos à tu-tete à travers la maison familiale. Quand il a s’agit de chanter des chansons existantes et écrites, j’ai réalisé (ou plutôt ma famille qui m’entendait chanter en permanence!) que je chantais souvent faux et hors rythme… j’ai donc pris des cours de chant (lyrique, chorale, individuel…) en conservatoire et cours particuliers à partir de 8 ans.Malgré cette éducation nécessaire à la musique, la passion et le plaisir du chant ne m’ont jamais quittée et c’est toute naturellement que nous avons rejoint nos amours de la musique. Nous sommes deux moitiés dans Dame Zina, père (Y, qui compose, produit et écrit) et fille (Dame Zina, qui chante et écrit également).

Y : j’ai commencé la musique vers 12 ans en bidouillant des synthés et j’ai continué jusqu’à faire des études d’ingénieur du son à Louis Lumière. J’ai eu plusieurs groupes ou je jouais les claviers et composais, et fait quelques musiques de film. La vie m’a ensuite porté sur d’autres carrières mais j’ai toujours composé. Je suis vraiment revenu à la musique pour ce projet commun avec Dame Zina, et on a une super complicité pour créer ! 


Pouvez-vous nous présenter l’EP Déjà vu et son univers ?

DZ : notre EP Déjà Vu réunit nos trois singles préférés (et apparemment ceux de notre public également !) sortis en début 2022 lors de notre programme de sortie hebdomadaires de singles commencé en février.Ce sont 3 chansons en anglais traitant de trois grands sujets de prédilection dans mon écriture, l’inspiration artistique en elle même, avec Soleil Froid, mon amour de la nature et de la féerie, avec Cottagecore, et la problématique essentielle dans ma vie qu’est le féminisme dans Looks.Dans Déjà Vu, il y a également un remix club de Looks, jamais paru auparavant, et un clip sur YouTube Vevo pour la chanson Soleil Froid !


Comment composez-vous et quelles sont vos sources d’inspirations ?

Y : Ça commence toujours par un riff, souvent une ligne de basse ou une rythmique, ou un riff de piano ou de synthé. Je commence presque toujours par l’accompagnement et je pose la mélodie ensuite. En fait pas mal de nos chansons ont commencé comme des brouillons de musiques de film ou instrumentales. J’ai toujours eu un peu peur de composer des mélodies ! Ça s’est débloqué le jour ou j’ai écrit What If qui était notre toute première chanson et celle qui nous a donné envie de faire tout l’album Emerald Eyes, qu’on a enregistré en 2019. Depuis, ça sort tout seul !DZ : J’écris beaucoup sur la femme, sur ma place de tant que femme mais aussi mon amour des femmes, je pense que dans le monde d’aujourd’hui, C’est important d’entendre nos voix et nos expériences féminines.La nature est également très importante pour moi et mon écriture, nous vivons dans une planète parfaite, elle m’inspire et me donne envie d’être une petite fée printanière butinant une fleur!

Quels sont vos choix sur le plan instrumental ?

Y : je fais tout à l’ordinateur mais paradoxalement j’aime un son assez brut et naturel. On a travaillé sur le premier album avec quelques instrumentistes de talent (violoncelle, clarinette) mais pour le projet Meadowsweet où on s’est fixés de sortir un single par semaine, pour le moment on reste sur une production entièrement à l’ordinateur. On a un studio assez simple, avec l’essentiel, à la maison. Donc, ce type de prod nous pousse vers l’électro rock… Musicalement je cherche plutôt l’émotion provoquée par un son, et son articulation naturelle, que d’essayer de reproduire fidèlement des instruments, ce qui sonne toujours un peu faux, même si les batteries que j’ai programmé sur nos titres plus rock comme cottagecore sont vraiment bluffantes. On travaille sans aucun sample, je fais toutes les musiques. J’aime bien les mélodies un peu torturées, soit dans la signature temporelle soit dans les notes, et je crois que c’est une des caractéristiques de notre musique…


Comment se sont passés les enregistrements en studio ?

DZ : ce sont mes moments préférés !! Je m’y sens chez moi, en confiance, juste nous deux à expérimenter. On a l’habitude de travailler ensemble, ça fait 3 ans qu’on enregistre tous les deux et je n’ai peur de rien !
Y : elle chante super bien et on fait peu de prises, souvent une seule prise par couplet ou refrain, et peu ou pas de corrections, ce qui donne une voix beaucoup plus naturelle. Les titre qu’on entend à la radio aujourd’hui sont souvent des montages hyper complexes de dizaines de prises, c’est l’enfer. Et je parle pas de l’auto tune, je suis allergique ! En pratique je fais la mélodie au piano qu’elle a dans le casque et en visuel sur l’écran, on fait quelques passages pour caler et on enregistre… parfois c’est directement la bonne prise, et parfois on y revient un mois ou deux après. Ça nous arrive d’empiler quelques voix pour donner du corps et de retravailler évidemment pas mal le son, mais on essaie de rester au plus près du naturel tout en étant électro. Pour soleil froid c’est un peu particulier, la chanson est l’une des plus complexes qu’on a écrite et elle était presque prête pour le premier album, mais le mix qui sort le 8 août a été retouché jusque juillet, donc presque 3 ans après l’avoir écrit ! On a essayé plusieurs refrains, c’était pas évident, il y a beaucoup de parties de synthés et le mix était délicat… En général les autres sortent beaucoup plus vite, mais faire un titre du début à la fin c’est jamais si simple que ça… en même temps ça m’arrive de retoucher la compo au moment du mastering donc ça laisse aussi une grande liberté dans la vision d’ensemble.


Parlez nous du titre Cottagecore…

DZ : C’est un titre super important pour moi, Cottagecore, c’est le nom d’une esthétique qui réunit la nature, des jolies robes légères, des grands chapeaux de pailles et parfois même un peu de féerie… tout ce que j’aime et dont je rêve pour ma vie !
Y : On a vraiment deux styles de morceaux, certains plus rock, d’autres plus electro. Cottagecore fait partie de nos titres assez rock que j’essaie de garder le plus brut possible ! 
Que souhaitez-vous transmettre au public avec votre EP ?DZ : je porte en moi un grand amour de la vie. J’ai confiance dans le monde, dans l’univers, il m’apporte le bonheur, l’amour, l’inspiration de créer comme je l’aime, la beauté du monde qui m’entoure, la fierté d’être une femme aujourd’hui… c’est ce sentiment que j’espère transmettre : un optimisme inébranlable !

Quels ont été vos choix pour l’artwork de Déjà vu ?

DZ : Il y a un peu plus de deux ans, juste avant de sortir notre premier album Emerald Eyes, Yuji Watanabe, un photographe japonais incroyable (en toute objectivité) m’a contactée en me demandant si j’avais déjà des visuels pour ce premier album, car il voulait absolument illustrer notre musique qu’il venait de découvrir et sur laquelle il avait eu un énorme coup de cœur.Nous avions déjà tous nos visuels prêts depuis un moment, réalisés par une photographe que j’estime énormément, Isabelle Banco, alors j’ai proposé à Yuji d’illustrer notre prochain projet.Nous nous sommes compris très vite sur ce que je voulais : des fleurs abstraites, et il a su réaliser des photos sublimes ! Déjà Vu est le premier EP pour lequel on travaille ensemble, mais les trois EPs suivants, sortant chaque mois après celui ci, seront également communs… j’ai hâte de les montrer !

Que peut-on savoir du clip du titre Soleil Froid ?

DZ : nous avons pour habitude de réaliser nos clips nous mêmes, mais pour celui ci, nous avons ouvert notre petit monde à Gaëlle Oro, photographe et vidéaste de talent, qui partage également ma vie. Elle a réalisé toutes les sublimes images du clip.Nous l’avons écrit comme un court métrage, retraçant l’histoire de Felicity, une jeune Lady du tout début du XXe, se réveillant dans Paris aujourd’hui.A travers sa découverte du monde moderne, je voulais partager mon amour pour la vie, et apporter un regard neuf sur la beauté du monde actuel, malgré des actualités souvent alarmistes qui ont tendance à nous rendre plus pessimistes qu’autre chose.Je suis une éternelle optimiste, j’ai de l’espoir dans la vie, et j’espère que mon personnage (que je joue moi même !) saura convaincre tous ceux qui regarderont Soleil Froid!

Pourquoi avoir voulu proposer une version club remix du titre Looks ?

DZ : Looks est une chanson que nous aimons particulièrement, et dont nous avons très vite eu l’envie de créer une nouvelle version, plus dynamique, plus dansante, plus énergique. C’était naturel, comme si cette version existait deja quelque part dans l’originale !

Y : Alors les remix c’est vraiment un truc que j’adore. Pour Dame Zina on donne tous les stems de tous les morceaux sur remix.damezina.com parce que j’adore quand quelqu’un prend nos sons et les transforme et quelque chose de complètement inattendu, en change l’ambiance, et réinvente le morceau ! Je tire ce goût des remix des groupes des années 90 qui ont façonné mon oreille, en particulier l’indus comme Nine Inch Nails, Killing Joke ou Ministry et des DJs comme Laurent Garnier. Tout ce qui mélange les genres, j’adore. J’espère qu’on pourra sortir un album de remixes avec des trucs qu’on aurait jamais imaginés sur nos sons ! Looks était déjà assez dansant mais c’est toujours un défi pour moi de faire simple et efficace, donc on est reparti de zéro, on l’a accéléré un peu et posé un riff assez house, et on l’a reconstruit à partir de là en gardant le meilleur ! Ici globalement c’est la même structure mais d’autres remixes peuvent complètement changer un morceau, on verra ce que l’avenir nous réserve…

Des concerts sont-ils prévus et qu’appréciez-vous dans la scène ?

DZ : bien que nous ayons déjà fait un peu de scène avec notre premier album, aucun concert n’est prévu pour le moment. J’ai une grande anxiété de la foule, et j’aime le studio. Nous sommes intéressés par l’idée de développer des concerts plus tard, mais pour l’instant, nous nous concentrons sur ce que l’on aime dans la musique : créer ensemble. 
Y : oui je pense qu’on fera de la scène un jour mais c’est un travail assez différent de notre dynamique actuelle. Si on en fait on devra monter un groupe de scène et ce sera génial !


Que souhaitez-vous dire pour terminer ?

DZ : Dès le 8 août, Déjà Vu sera sur toutes les plateformes, et Soleil Froid sur YouTube ! Toutes nos sorties précédentes (le premier album et les singles de Meadowsweet) sont disponibles partout. Après déjà vu, un nouvel EP de 4 chansons et un clip sortira chaque mois, avec cette fois exclusivement des nouvelles chansons. Le suivant s’intitule Sorcière, et ce sera mon petit manifeste féministe !

 Y : On a déjà une vingtaine d’autres chansons en cours et plusieurs remixes, et on a ouvert les remix à tous donc on espère être surpris ! 

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